Elle avait dit tout bas
Que sa vie n'était rien
Que son coeur ici-bas
Battait avec le mien
Elle avait dit tout haut
Que nos corps étalés
Parlaient en mille mots
De nos envies d'aimer
Mais couchées ce matin
Nos deux ailes enlacées
Sauront le lendemain
Savoir se séparer
Qu'en est-il des jours
Qui dansent et qui sourient
Des amants de velours
De nos nuits alanguies
Dans le jeu du hasard
Ma vie n’est que misère
Pour atteindre le phare
Les chaos de la mer
Mais au bout du rivage
Je t’ai vu mon amour
Crier au sabordage
Du présent sans retour
Commentaires
coucou
OOoh que c'est beau!!! j'adore l'image des deux ailes enlacées!! tels 2 anges! j'adooore!!!
et puis malgré la mélancolie que l'on ressens, on lit une lueur d'espoir de retrouvaille à la fin! j'aime énormément ton écrit, une fois de plus!
merci du partage!!
bon dimanche
bisoous
Bonjour
Encore une magnifique poème comme je les aime!
Bonne journée!